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Les élèves de la classe de 1MVM ont participé à la Saison Africa 2020 leur permettant ainsi de se confronter à l’art contemporain africain et de participer à un évènement national.
Ce projet a permis également aux élèves de faire des liens entre leurs enseignements professionnels (mécanique) et leurs enseignements de Lettres, histoire et arts appliqués.
Ainsi les premières séances avec les intervenantes (Association La fabrique de l’esprit) ont pu permettre la présentation géographique, démographique et historique de l’Afrique de 1880 à aujourd’hui afin de comprendre le contexte de l’art contemporain en Afrique. Plusieurs notions importantes ont également été définies : contemporain, colonisation, diaspora, anthropologie, panafricanisme, négritude ou encore le wax.
L’objectif principal de ce projet est de sensibiliser les élèves aux recherches liées à l’art contemporain et aux problématiques sociétales. Outre la découverte de ces artistes contemporains africains, il s’agit également d’interroger le rapport entre arts, société et histoire.Cette sensibilisation passe aussi et, avant tout, par la mise en route d’un processus créatif réalisé à partir d’objets recyclés, réinterprétés (sculpture, collage, photographie, installation) issus de pièces industrielles.
Chaque groupe d’élèves y aborde une problématique différente : discrimination, migration, « sapologie» et environnement
Les différents groupes ont travaillé durant plusieurs séances sur leur création. De l’atelier de soudure aux photos et vidéos montages en passant par la sculpture en laine de verre, la gravure ou encore l‘assemblage, les méthodes de création choisies par les élèves ont été variées. Les élèves ont eu l’occasion de travailler sur les cartels et la médiation liée à leurs œuvres. Cette exposition est le fruit de ce travail de recherche artistique et théorique. Les oeuvres ont été exposées au sein de la Galerie Picabia du lycée.
Dans le cadre d’un projet mené sur le territoire, les élèves de la classe de 2MRC2 ont pu bénéficier d’un atelier de pratique théâtrale avec la Compagnie Correspondances.
Au cours de cet atelier, les élèves ont, avec deux comédiens, réaliser de nombreux exercices : écoute de soi et des autres, déplacements dans l’espace, exercices de dictions et d’improvisation.
Une fois, ces différents éléments découverts, les élèves se sont essayés à la mise en scène d’extraits de la pièce Grand-peur et misère du IIIème Reich de Berthold Brecht.
Enfin, ils ont écrit leurs propres peurs et malaises en lien avec la société actuelle, mettant en scène différentes anecdotes de la vie quotidienne.
Quelques impressions d’élèves:
” Moi, qui pensait que le théâtre ne me plaisait pas, ces journées m’ont fait changé d’avis et m’ont fait prendre confiance en moi à l’oral. Cela m’a fait apprendre beaucoup de choses sur le métier de comédien et sur leur travail”
” Ce fut source de nouveauté et d’apprentissage”
“Je suis content d’avoir essayé de combattre mon stress”
“Je n’ai pas aimé quand nous avons dû passer devant la classe”
“J’ai pris confiance en moi pour passer l’oral”
” j’ai adoré le partage des rôles, les mises en commun, les passages devant la classe”
Cette année les élèves suivants l’option EPS ont pu travailler avec deux artistes de la Compagnie Hej hej Tak.
Ce projet s’inscrivant sur le territoire dans le cadre des Chemins artistiques permet le travail de plusieurs établissements (du primaire et du secondaire) avec une même équipe artistique.
Ainsi les élèves ont pu s’initier à la danse contemporaine et à l’improvisation théâtrale sur le thème de la représentation de soi et du selfie. L’occasion de s’interroger sur ce sujet central et de réfléchir à la façon de le retranscrire avec le corps à travers la pratique de la danse et du théâtre.
En parallèle de leur cours de français, les élèves des classes de secondes 205 et 206 ont assisté à la représentation théâtrale de la Compagnie Les Lucioles: Capital Risque.
En amont, les élèves de 205 avaient fait une initiation théâtre avec un comédien de la compagnie.
Après le spectacle les élèves ont rédigé des critiques de la pièce ou ont réalisé un carnet intime d’un personnage de la pièce.
Depuis quelques années, les élèves du lycée ont initié la création d’un coin biodiversité au sein du lycée.
Ce projet est composé d’un jardin potager et d’un jardin d’ornement.
Ces jardins sont des supports pédagogiques de nombreux enseignements scientifiques en sciences physiques et en Sciences de la vie et de la terre : réflexion sur la question de l’ensoleillement, analyse de la présence faune et flore sur l’espace du lycée, réflexion sur les associations de plantes…
Des élèves de seconde (2018-2019) ont réalisé des plans avant d’installer leurs plantations: biodiversite-01072019123937
Aménagement du coin potager par des élèves volontaires:
Ce projet a été financé par la Région Hauts-de-France dans le cadre du projet “Génération+ Biodiversité”.
Les élèves de 1ères LGT suivant l’option facultative arts plastiques ont travaillé avec l’artiste Marion Richomme dans le cadre des Chemins artistiques.
Après avoir découvert les oeuvres de l’artiste exposées au sein de la galerie Picabia du lycée, les élèves se sont initiés à la pratique de la terre cuite, en créant près de 350 pièces constituant ainsi une oeuvre collective.
Créations des pièces:
Emaillage:
Installation :
Ce jeudi 5 juillet 2018, les élèves de 1ère euro du lycée général ont accueilli leurs six correspondants néo-zélandais. De l’Historial de Péronne aux vestiges des tranchées de Frise, en passant par le cimetière britannique de Caterpillar Valley et le mémorial de Longueval, les jeunes lycéens Péronnais, leurs homologues arrageois et kiwis (nom donné aux habitants de la Nouvelle-Zélande), sont partis sur les traces de leurs ancêtres ayant combattu dans la Somme entre 1914 et 1918.
Dès le matin, les élèves de Première euro, encore au travail au lendemain des épreuves orales du baccalauréat de français, ont présenté tour à tour les cinq salles de l’Historial de Péronne. Les Néo-Zélandais ont ensuite pu librement découvrir le musée grâce au dossier pédagogique conçu par leurs correspondants. Cette matinée s’est achevée par la visite de l’exposition temporaire consacrée aux “Amours en guerre”.
L’après-midi, le recueillement des jeunes néo-zélandais devant le mémorial de Longueval et les tombes des soldats kiwis au cimetière de Caterpillar ont été un des moments forts de la journée.
Les explications de Pauline, élève de 1ère euro du lycée, et de M. Belvalette, professeur d’histoire du lycée, ont fait revivre l’offensive victorieuse des soldats néo-zélandais jusqu’au village de Flers.
La journée s’est achevée par la lecture d’extraits de La main coupée à Frise, sur le front français. Adrien, élève de 1ère euro, nous a conté les difficiles conditions de vie et de combat de Blaise Cendrars, poète et ancien poilu ayant combattu ici-même lors de la Première Guerre mondiale.
Suite du programme: visite d’Amiens, de la ville du Quesnoy et de Paris ! Les Kiwis ont encore de nombreuses choses à découvrir de l’autre côté de la planète!
